Des dizaines de membres du Sénat mauritanien, qui ont annoncé son abrogation par un amendement constitutionnel en août 2017, ont annoncé leur rejet de cet amendement, considérant que les abandonner pour avoir tenté de le modifier par le Parlement a mis fin à la voie légale pour le modifier. Les cheikhs ont convenu lors d'une réunion mercredi soir à Nouakchott d'organiser un mouvement pour faire connaître leur position, et ils ont également salué la performance du comité qui avait pris leur mouvement refusant de reconnaître les amendements constitutionnels depuis son approbation 2017
Les cheikhs ont salué la performance du président Mohamed Ould Ghazouani, que ce soit dans le domaine politique en s'ouvrant à l'opposition et en la consultant, ou dans des domaines vitaux tels que la santé et l'éducation, tandis que certains d'entre eux ont évoqué la nécessité de rompre avec les pratiques du régime précédent et les progrès réalisés pour établir une Mauritanie démocratique, avancée et réconciliée. La réunion a été coordonnée par la coordinatrice du Sénat, qui a annoncé son soutien au président Mohamed Ould Ghazouani lors des dernières grandes élections.
