Monsieur le Président, nous, travailleurs de l’informel et autres contractuels, souffrons. Vos projets et programmes pour atténuer les effets de la pandémie de coronavirus sur vos concitoyens ne semblent pas nous concerner. Nous avons été oubliés. J’ai rencontré beaucoup de concitoyens de tous bords qui ne savent plus à quel saint se vouer.