VOA Afrique - Les autorités du Soudan ont annoncé jeudi la confiscation des biens immobiliers appartenant à l’ancien président Omar el-Béchir, à ses proches et certains anciens officiels.
Peuple mauritanien de toutes nos nationalités et de toutes nos couches sociales,
Voilà bientôt deux mois que notre pays, à l’instar d’autres pays dans le monde, endure les conséquences très lourdes d’une crise sanitaire inédite par ses effets dévastateurs à l’échelle universelle telle une « tempête tectonique ».
Le corps sans vie d’un ex-soldat a été découvert dans un domicile situé à Dubaï, un quartier au nord de Toujounine (Nouakchott-Nord), hier, jeudi 7 mai, a-t-on appris.
Sita Tyasutami présentait tous les symptômes révélateurs d'un coronavirus. Pourtant, alors qu'elle était allongée sur un lit d'hôpital à Jakarta, la capitale indonésienne, son état n'avait pas été diagnostiqué.
Tout comme celui de sa mère, Maria Darmaningsih, qui avait été admise dans le même hôpital.
Excellence, actualité oblige, que pensez-vous du traitement de la pandémie du Covid-19 par nos autorités nationales ? Et que peut-on faire pour envisager sereinement l’avenir ?
Ahmedou O. Abdallah (AOA) : Comme bon nombre d’observateurs, je me réjouis de la réponse rapide, déterminée et organisée du gouvernement face à cette pandémie.
Le secrétaire général du gouvernement, M. Niang Hamady Djibril, acommenté aujourd'hui mercredi 5 mai courant, aux côtés de certains ministres les travaux de la session du Conseil des ministres qui s’est tenu, quelques heures auparavant à Nouakchott.
Dans un rapport rendu public par la SOciété Mauritanienne d’ÉLECtricité (SOMELEC), l’ex-Président Mohamed ould Abdel Aziz est accusé d’avoir cumulé un impayé de 162 millions d’anciennes ouguiyas sur six factures : le chasseur en chef des gabegistes usait et abusait de l’énergie électrique via des branchements frauduleux enregistrés aux abonnés absent
RFI Afrique - Alors que les pays riches réunis au sein du G20 ont approuvé un moratoire d’un an sur les dettes des pays les pauvres de la planète, dont 44 se situent en Afrique, les grandes banques privées réunies au sein de l’Institut de la finance Internationale (IIF) expriment leurs doutes et posent des conditions.